<h3 style="text-align: center">Les Herbonautes&nbsp;: le 7e appel à projet est lancé&nbsp;!</h3>Les Herbonautes propose à une communauté d’internautes d’enrichir les données descriptives des spécimens des collections naturalistes, des herbiers principalement, contribuant ainsi à l’étude et à la connaissance de la biodiversité. Les Herbonautes sont un programme de sciences participatives piloté par l’infrastructure Récolnat.<h3 style="text-align: justify">La participation citoyenne dans la production de données scientifiques</h3>Le réseau national des collections naturalistes (Récolnat) est une infrastructure de recherche (IR) dont le périmètre concerne toutes les collections d’histoire naturelle. Récolnat œuvre pour faciliter l’accès aux spécimens des collections dans une démarche de science ouverte et de valorisation par la recherche.Les Herbonautes est un collectif d’acteurs issus de la société civile et académiques qui collaborent dans la co-production de jeux de données robustes, directement exploitables par la recherche. Depuis sa création en 2013, les Herbonautes ont informatisé plus de 660 000 spécimens, comptabilisant ainsi plus de 8,4 millions de contributions.<h3 style="text-align: justify">Modalités de participation</h3>Cet appel à projet est ouvert à toutes les thématiques en lien avec la biodiversité comme la systématique, la taxinomie, l’écologie, l’histoire des paysages, la géographie, la chimie, etc. Les dossiers des candidatures seront examinés par le comité scientifique de l’infrastructure Récolnat et évalués en termes de pertinence et de faisabilité.Les projets de candidature sont à soumettre jusqu’au 30 juin 2025 midi (heure de Paris) à lesherbonautes@recolnat.org avec en sujet "APP_Herbonautes2025".Pour télécharger le dossier de candidature, rendez-vous sur le site lesherbonautes.mnhn.fr<h3 style="text-align: justify"></h3>

Les Herbonautes : le 7e appel à projet est lancé !

Après plus de quinze ans de bons et loyaux service, Colhelper &nbsp;aujourd’hui, 11 juin 2025, laisse sa place à MUSE. Le projet de développement de MUSE, a été l’occasion entre autres, de repenser en profondeur le parcours des utilisateurs avec pour objectifs :&nbsp;<ul><li>D’améliorer la traçabilité des spécimens : chaque demande est documentée et traitée entièrement dans l’application ;&nbsp;</li></ul><ul><li>De simplifier les demandes et leur gestion ;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</li></ul><ul><li>Et enfin d’homogénéiser les pratiques au sein du Muséum national d’histoire naturelle.&nbsp;</li></ul>MUSE dispose, en plus d’une interface modernisée et totalement repensée, de la possibilité de faire un dépôt guidé d'une demande qui concerne plusieurs ensembles de collections et plusieurs besoins (par exemple : demander le prêt de planches d’herbier et des prélèvements de météorites). Par ailleurs, tout au long de la demande, l’utilisateur est informé de l’avancement de la demande par des notifications (par mail) et dispose d’un fil de discussion interne à l’application pour échanger avec un interlocuteur du Muséum. Par ailleurs, l’application dispose de documents préremplis (fiches de prêts par exemple) pour simplifier le traitement des demandes. &nbsp;&nbsp;Les travaux réalisés pour l’application MUSE ont servi aussi de base aux développements menés sur ELViS dans le cadre de l’infrastructure DiSSCo. (voir l’article qui nous y consacrions il y a quelques temps). &nbsp;Vous pouvez dès à présent vous inscrire sur la plateforme pour y déposer des demandes : https://muse.mnhn.fr/fr. Une vidéo de présentation est aussi disponible pour vous accompagner dans sa prise en main : https://www.youtube.com/watch?v=uIBPW45GoR0&nbsp;

Lancement de MUSE : la plateforme de gestion des demandes liées aux collections du Muséum national d’histoire naturelle 

Nous sommes ravis d’annoncer que 17 bocaux contenant des graines et appartenant à la collection Roland Bonaparte ont pu être récupérés par l’université Claude Bernard Lyon 1. C’est grâce à un travail conjoint entre le service juridique de l’université, l’équipe de l’herbier et les détenteurs privés de ce lot, qu’un accord transactionnel a été signé pour que ces collections soient restituées et réintègrent la collection de l’herbier Roland Bonaparte.&nbsp;

17 bocaux sont de retour dans la collection d’herbier Roland Bonaparte !

Débuté en décembre 2023 et pendant 18 mois, les partenaires de DiSSCo Transition ont continué œuvrer à la construction de la future infrastructure européenne DiSSCo (Distributed System of Scientific Collections).Cette phase de transition dont l’objectif principal était de définir les bases par lesquelles DiSSCo va atteindre le statut d’ERIC (Consortium européen pour les infrastructures de recherche) a contribué aux livrables suivants&nbsp;:·&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Les statuts (policy framework) et le modèle de contribution financière&nbsp;;·&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; L’engagements et la participation des nœuds nationaux à DiSSCo&nbsp;;·&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; L’offre des services et des outils associés&nbsp;;·&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; La mise en place et le partage de normes et de pratiques.La prochaine phase à venir sera le lancement de DiSSCo Construction à la mi-2025.www.dissco.eu

Le programme DiSSCo Transition, deuxième phase du calendrier des travaux de la future infrastructure DiSSCo, vient de se terminer le 1ᵉʳ avril 2025.

<h3>Le Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) modernise son outil d’accès aux collections physiques et virtuelles, l’ancien Colhelper devient MUSE. Dans ce cadre et en partenariat avec les membres de la communauté DiSSCo (Distributed System of Scientific Collections), le MNHN développe et déploie la version &nbsp;locale de son outil en une version européenne, le portail ELViS (European Loans and Visits System).</h3>Depuis le mois d’octobre dernier, les travaux pour concrétiser la construction d’ELViS ont été marqués par plusieurs jalons importants.Après avoir spécifié une vision commune avec les membres de DiSSCo des contours que prendrait le projet ELViS, le MNHN a proposé de développer un démonstrateur (outil qui permet d’évaluer la faisabilité du projet, tant technique que scientifique) basé sur son outil Muse. Ce démonstrateur sera utilisé pour faire murir le projet en vue de développer une première version au plus proche des besoins des utilisateurs. Il aura aussi pour objectif de vérifier la faisabilité technique des concepts techniques centraux de DiSSCo, c’est-à-dire la communication entre l’architecture centrale «&nbsp;hub&nbsp;» et les services distribués par le biais d’objets digitaux FAIR (trouvables, accessibles, interopérables, lisibles).Aujourd’hui, la phase de développement a commencé, elle consiste en un travail étroit avec l’équipe de développement de Muse afin d’aligner les deux outils. Ainsi, la version d’ELViS livrée en mai prochain, sera l’équivalent de Muse, complété par des fonctionnalités «&nbsp;européennes&nbsp;». Dans le même temps, un travail important de réflexion sur l’avenir du produit, les fonctionnalités à prioriser et son passage à une échelle multi-institutionnelle est mené.L’objectif est qu’une fois livré en mai, l’outil serve à animer des ateliers avec les membres de la communauté DiSSCo afin de construire une vision commune en vue de développements futurs. En bref, la route est encore longue vers le déploiement à large échelle d’un outil permettant à la communauté européenne d’emprunter, d’aller voir, de faire numériser ou de réaliser des prélèvements sur des spécimens mais les jalons franchis actuellement permettent d’aborder avec précision l’avenir et sont essentiels.https://elvis.dissco.eu

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